Listing de Battle Infinity sur PancakeSwap : déjà 7 296 holders

Ça y est ! Battle Infinity est arrivé sur PancakeSwap le 17 août 2022. Très suivi cette année, le token avait déjà surpris lors de sa prévente. Celle-ci avait pris fin en 25 jours, une durée bien plus courte que les 90 jours prévus. À présent en listing, Battle Infinity réalise un excellent démarrage avec plus de 7296 holders en seulement quelques jours.

Battle Infinity enregistre 7296 holders en trois jours !

IBAT sur PancakeSwap, c’est une nouvelle qui a visiblement ravi plus de 7 000 personnes. Depuis le 17 août 2022, il est possible de posséder, de vendre et d’acheter cette cryptomonnaie. Les investisseurs n’ont d’ailleurs pas tardé.

BscScan a récemment a annoncé qu’il y avait déjà plus de 7296 holders pour un total de 10 millions de tokens IBAT en circulation. Pour l’instant, on compte plus d’acheteurs que de vendeurs, probablement à cause de la taxe de 12 % mise sur les ventes. Le nombre de holders ne cesse toutefois de grimper malgré l’état inquiétant du marché.

Autre exploit significatif, le token n’a pas été affecté par la chute du Bitcoin. Le 18 août 2022, la reine des cryptomonnaies perdait en effet 2000 $ et entraînait les autres altcoins dans sa chute. IBAT a cependant pris de la valeur et vaut actuellement 5 fois son prix de départ. Le token est en effet passé de 0,0015 $ à 0,008 $.

IBAT ne compte pas se limiter à PancakeSwap !

L’arrivée de Battle Infinity sur PancakeSwap a permis au Token de gagner 5 000 abonnés sur sa chaîne Telegram. Un autre exploit qui illustre le potentiel du token et l’intérêt des investisseurs à son égard. C’est d’ailleurs sur cette chaîne que le CM de Battle Infinity a annoncé que le Token serait bientôt disponible sur d’autres plateformes d’exchange.

Ce qui devrait augmenter sa visibilité et donc sa popularité et peut-être même son prix. Pour plusieurs investisseurs, l’idéal serait que le token soit disponible sur la plateforme Binance. Cela n’est pas impossible, mais il est certainement encore trop tôt pour espérer ce listing. Toutefois, IBAT reste un token prometteur à surveiller de près.

La banque centrale du Japon abandonne l’idée du Yen numérique

Le Yen numérique risque de ne jamais voir le jour. La banque du Japon a décidé de se laisser tomber ce projet, en raison du manque d’intérêt de la société japonaise. Il faut croire que les habitudes monétaires du peuple japonais ne s’accordent pas avec l’essor d’une monnaie numérique centrale. Serait-ce définitif ? Trouvera-t-on des alternatifs au e-yen ?

La société nippone n’est pas emballée par le e-yen

La banque centrale du Japon justifie l’abandon de son projet, par le manque d’intérêt des Japonais à l’endroit du yen numérique. Selon elle, les habitudes monétaires de la société nippone empêchent la praticabilité d’un éventuel e-yen. Elle en arrive à cette conclusion suite à série de tests et recherches menées depuis 2021, dans le cadre de l’émission de cette monnaie.

Plus simplement, les Japonais ne sont pas intéressés par le e-yen. Ils préfèrent le Fiat et voudraient bien se contenter des méthodes de paiement numérique déjà présentes. Bien que la société nippone soit aujourd’hui intéressée par les cryptomonnaies en l’occurrence le bitcoin, elle reste très attachée à l’argent liquide.

À cela s’ajoute la popularité des services bancaires en ligne et des cartes de crédit. En outre, il est possible d’obtenir des cryptomonnaies sans avoir recours à des tiers de confiance. En conséquence, de tout cela, le yen numérique n’a pas reçu un accueil promettant une quelconque viabilité. La banque du Japon s’est donc résolue à laisser tomber le projet, du moins pour l’instant.

Fin du Yen numérique : possible émission d’un stable coin du Yen

Face à la situation actuelle, le yen numérique ne semble pas avoir d’avenir. Cependant, la banque du Japon a décidé de poursuivre ses recherches dans le domaine de la blockhain et des cryptomonnaies. Il se peut qu’une alternative voie le jour.

En effet, même en l’absence du yen numérique, la société japonaise pourra toujours se servir d’un stablecoin du yen. Ce jeton serait alors émis par des banques privées. L’un des plus grands groupes bancaires, le Mitsubishi UFJ Financial s’est intéressé à ce projet. Il est actuellement entrain d’étudier sa viabilité.

Socios.com réalise un investissement de 100 millions de dollars sur le FC Barcelone

La plateforme Socios.com a investi 100 millions de dollars dans le système numérique du FC Barcelone. Victime d’une longue crise financière depuis quelques années, le club trouve ainsi un moyen de se relancer en s’accordant une nouvelle source de revenu. Mais en quoi consiste concrètement cet investissement ? Quels en sont les objectifs ?

La direction du FC Barcelone vend 25 % des parts de Barça Studios

Dans l’objectif de générer un nouveau flux de revenu, le FC Barcelone a cédé des parts d’une de ses filiales à la plateforme Socios.com. C’est l’une des nouvelles annoncées par le président Joan Laporta, lors de la conférence de Presse du nouveau blaugrana Jules Koundé.

C’est en effet 25 % des parts de la plateforme Barça Studios qui ont été vendus pour 100 millions de dollars. Lancée en 2019, cette plateforme est chargée de gérer le contenu audiovisuel du club catalan. En d’autres termes, elle s’occupe de la création et de la diffusion de ce type de contenu. Elle s’occupe également de l’intégration du club dans l’univers dans l’univers de la blockchain.

Quant à Socios.com, il s’agit d’une filiale de la société maltaise Chiliz (CHZ). Elle entend aider les clubs à mieux monétiser leur interaction avec les supporters grâce aux cryptomonnaies. Une initiative qui s’illustre à travers l’emploi des fans tokens : des jetons numériques dédiés aux fans de football.

Quels sont les impacts de cet investissement de Socios.com ?

L’investissement de Socios.com a surtout permis au FC Barcelone de mener à bien son mercato estival. Toutefois, il servira essentiellement à améliorer les stratégies du club dans le Web3 et notamment dans le Metaverse. Dans les faits, ce nouveau partenariat permettra au FC Barcelone d’accéder à la Chiliz Chain. Le club pourra ainsi produire des fans Token, mais également des NFT et des jeux play2earn.

La nouvelle a bouleversé l’écosystème Chilliz. À sa tombée, le cours du Token a grimpé de 30 % en moins d’une heure. Elle a par ailleurs influencé le cours du fan Token du FC Barcelone. Il a, lui aussi, connu une hausse puis une phase de correction juste après l’annonce.

Tamadoge accumule environ 2 millions de dollars pour sa prévente bêta

La prévente bêta de Tamadoge est terminée ! Pourtant fixée pour le 20 septembre 2022, voilà que cette prévente s’achève avec l’écoulement de tous les jetons alloués pour l’occasion. Ce meme token réalise ainsi excellent démarrage. Il mérite, de ce fait, tout l’intérêt des férus de Blockchain et de cryptomonnaies.

2 millions de dollars récoltés en quelques semaines

2 millions de dollars US, c’est la somme récoltée au cours de la prévente bêta du meme token Tamadoge, lancée en juillet 2022. Le projet pourra désormais passer à la prévente proprement dite, où le prix du jeton TAMA augmentera de 25 %.

Cet exploit a été rendu possible grâce à la rentabilité de l’investissement sur le meme token Tamadoge, mais aussi grâce son potentiel et à son fonctionnement. En effet, le mécanisme mis en place par les concepteurs, intègre un système de jeu Play 2 Earn.Il permettra aux joueurs d’obtenir des jetons sous forme récompenses, en participant à un jeu divertissant.

Par la suite, ces jetons pourront être dépensés dans le jeu, pour des achats ou être transférés vers un portefeuille électronique externe. Le système intègre aussi un mode de jeu Player vs Player. Bien qu’il ne soit pas le premier, il récompense les joueurs avec des dogepoints. Un apport qui fait de Tamadoge, une véritable révolution dans l’univers P2E. Il justifie aussi son récent exploit ainsi que l’intérêt des investisseurs.

Tamadoge est-il promis à un bel avenir ?

La prévente bêta a renforcé et étendu le succès de Tamadoge. À sa fin, le compte Twitter officiel du meme token comptait 38 000 abonnés. Quant à son groupe telegram, il est passé 21 000 membres. De plus, alors qu’aucune date n’a encore été fixée pour la prévente officielle, les concepteurs pensent déjà la phase d’après. Pour cause, les investisseurs plus que prêts et sont très enthousiastes par rapport au futur de Tamadoge.

Cet engouement trouve sa justification, dans le caractère déflationniste du token. En effet, l’équipe de Tamadoge a prévu un système de combustion de jetons, pour réglementer l’écoulement du meme token. Pour faire simple, chaque fois qu’un montant de Tamadoge servira à faire des achats dans le jeu, 5 % de ce montant sera brulé. C’est l’une des raisons pour lesquelles Tamadoge est considéré comme le token le plus prometteur de 2022.

1,2 milliard de dollars crées artificiellement lors du hack d’Acala

Le dimanche 14 août 2022, le protocole Acala de Polkadot subit l’un des hacks les plus importants de l’histoire de la cryptomonnaie. Les auteurs de l’attaque parvinrent à créer 1,2 milliard de dollars, à partir du stablecoin du projet : l’AUSD. Quelles sont donc les retombées de cet acte ?

Acala attaqué dans la journée du dimanche

Dès le début de la journée, le protocole Acala a envoyé une alerte à ses utilisateurs suite à un problème de configuration. L’information s’est répandue à travers l’écosystème, obligeant nombreux acteurs et plateformes à alerter à ce sujet. C’est en mi-journée que le protocole confirmera la présence d’un problème sur le nouveau pool de liquidité iBTC/aUSD. La faille a entraîné des mints erronés d’un montant significatif en aUSD.

Les hackers en ont alors tiré profit. Ils sont parvenus à créer artificiellement, plus de 1,2 milliard de dollars aUSD. Bien qu’il ne s’agisse que d’une création de tokens et pas d’un vol, c’est à ce jour la plus grande attaque subie par le protocole et le hack le plus conséquent de l’histoire de la DeFI. Toutefois, 99% du montant créé a pu être bloqué à temps sur la parachain d’Acala. De plus, les comptes liés l’attaque sont tous gelés. Toujours est-il que l’acte n’a pas été sans conséquence.

Le protocole serait-il en passe d’un futur fâcheux ?

L’attaque a eu pour effet d’entraîner un violent depeg de l’AUSD. Le stablecoin a touché 0,05 dollar le jour du hack. Il est depuis lors remonté, mais reste en dessous de son équivalence avec le dollar. Le cours de l’ACA a connu une baisse de 17% en quelques heures et pourrait encore baisser d’ici là.

En ce qui concerne le futur d’Acala, le débat reste mené au sein de sa communauté. Certains pensent qu’il faudrait retirer les changements sur la parachain. D’autres prétendent que cette situation pourrait s’avérer utile pour le protocole. Quoi qu’il en soit, la confiance dans le protocole a connu un véritable préjudice suite à cet arc qui succède à celui de Curve Finance. Les hacks liés à la DeFi semblent malheureusement se multiplier et risquent d’entraîner le déclin de projets pourtant très prometteurs.

Miami veut conquérir les NFT avec MasterCard et Salesforce

L’hiver crypto actuel n’impacte pas Francis Suarez, le grand adepte du Bitcoin et maire de la ville de Miami. Après avoir fait l’apologie du Bitcoin et instauré dans sa ville le MiamiCoin, le passionné du web 3 est loin de s’arrêter. En réalité, dans un récent communiqué de presse, on apprend que Miami lancera 5 000 NFT sur la Blockchain Ethereum en collaboration avec Time, Mastercard et Salesforce.

5 000 NFT prévus pour la capitale américaine du Bitcoin

C’est à travers un communiqué que la nouvelle est tombée. Le maire de Miami, Francis Suarez envisage commercialiser dans la Blockchain Ethereum 5 000 NFT (Non Fongibles Tokens). Le lancement est prévu pour le mois de décembre. Time, Mastercard et Salesforce sont les grands partenaires pour faire du projet une parfaite réussite.

Time se chargera d’aider à élaborer une stratégie NFT pour la ville.  Pour sa part, MasterCard offrira des avantages exclusifs aux personnes qui détiendront le Miami NFT. Pour finir, Salesforce guidera le processus de vente des jetons non fongibles à travers sa nouvelle plateforme NFT Cloud.

Les artistes de Miami à l’honneur

Les NFT sont l’œuvre de 56 artistes différents de Miami. Chaque artiste représente l’un des milles carrés de la superficie de la métropole. Au-delà du fait d’être une source d’opportunités pour les artistes, les NFT “génèrent des revenus pour les entreprises locales et les organisations à but non lucratif grâce à des offres de récompenses exclusives”.

Le PDG de Time a confirmé l’intérêt de son entreprise pour ce genre d’initiative et semble ravi par l’idée d’intégrer des talents et des entreprises locales de la ville surnommée la ville magique sur la blockchain.

La situation précaire que traverse les Investisseurs du projet CityCoin pourrait néanmoins créer des doutes à propos du lancement de ce nouveau projet. De toute évidence, Francis Suarez contribue à sa manière à la croissance de l’adoption des crypto-monnaies en raison de sa passion pour le Web 3.

La boutique Solana Spaces s’installe à New York

L’annonce est apparue sur les réseaux sociaux depuis quelques mois.  Mais désormais, c’est officiel. La blockchain Solana fait le lancement de son tout premier magasin physique. La ville choisie, c’est la métropole américaine New York. Ce lancement promet sans doute de bonnes choses.

Intégrer le Web3 dans la vie réelle

Une question se dégage du projet d’installation à New York : pourquoi ouvrir une boutique physique pour un protocole blockchain, qui de base fonctionne uniquement en ligne ? Solana justifie cela par sa volonté d’amener le Web3 vers le public.

A travers ce magasin physique, le client aura la possibilité de se faire accompagner pour mieux cerner les technologies de la blockchain ou les domaines d’application du Web3. Pour apprêter le lancement, les porteurs du projet avaient créé le compte Twitter Solana Spaces en avril dernier. Deux mois plus tard, le compte avait publié des annonces pour recruter différents profils pour son magasin physique. Il faut noter que le projet se concrétise de plus en plus.

Une boutique pour transmettre la culture et les valeurs de Solana

Bien que l’objectif premier soit la sensibilisation aux actifs numériques et au Web3 grâce aux ateliers de sensibilisation, le Solana Spaces permettra de faire la promotion de l’image de marque de la blockchain éponyme. Cette boutique réelle est susceptible de devenir l’emblème de la culture de la Blockchain Solana.  

A l’intérieur de la boutique, la possibilité sera offerte d’acheter des produits étiquetés Solana à savoir des chaussures, des sacs, ou encore des t-shirt. D’ailleurs, ces produits sont déjà disponibles. Les visiteurs pourront également découvrir les projets hébergés sur la blockchain Solana à l’instar de l’univers Stepn. Cette boutique physique sera également un lieu de regroupement et d’échanges entre les membres de la communauté de Solana.

Par ailleurs, cette boutique se chargera de faire la promotion des évènements occasionnels. En août, les acheteurs auront la possibilité de venir voir le pop-up de la Degen Ape Academy. Ils pourront également prendre part à des concours pour gagner des cadeaux. Ils auront aussi la possibilité de visiter la galerie NFT de Solana.

 

 

 

 

Le FMI avertit sur une chute plus prononcée des cours des cryptos

Pendant que le cours du Bitcoin s’approche une fois encore des 24 000 dollars, de son côté, la communauté crypto se permet de faire preuve d’un peu d’optimisme. Mais, ce n’est pas le cas du Fonds Monétaire International (FMI). L’institution financière internationale fait un avertissement sur le prix des crypto-monnaies dans les jours à venir. Une chute des cours des cryptos est à prévoir.

Le FMI prévient sur une plus grande chute des cours des cryptos

D’après le Fonds Monétaire International, les cours de crypto-monnaies connaîtront une chute plus marquée. En réalité, c’est Tobias Adrian, le responsable des marchés monétaires et de capitaux pour le FMI qui voit les choses de cette manière. Dans une interview accordée aux confrères de Yahoo Finance, il tenait les propos suivants :

« Nous pourrions voir de nouvelles ventes, à la fois pour les crypto-actifs et les marchés d’actifs risqués, comme les actions. »

Cette analyse du FMI est basée sur les conséquences engendrées par l’affaire Terra (LUNA). La ruine dudit projet a entraîné une déferlante dans l’écosystème de la crypto-monnaie. D’ailleurs, cela a affecté négativement d’autres plateformes d’envergure. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter selon Tobias Adrian :

« Il pourrait y avoir de nouveaux échecs en ce qui concerne les “coin offerings” – en particulier chez les stablecoins algorithmiques, qui ont été touchés le plus durement, d’autres pourraient s’effondrer. »

En réalité, la période est complexe pour tous les stablecoins. Il faut noter qu’ils sont spécialement suivis de près par les régulateurs depuis quelques mois.

La régulation doit se poursuivre

Le Fonds Monétaire International a tiré une conclusion à laquelle il fallait s’attendre. En effet, l’institution de Bretton Woods estime qu’il faut continuer de plus belle la régulation des marchés de crypto-monnaies. Toutefois, elle reconnait et admet que le marché est trop grand au point de faire du cas par cas. Elle tire son chapeau aux initiatives qui bloquent les points d’accès :

« Réguler les crypto-monnaies en elles-mêmes va s’avérer difficile, mais réguler les points d’accès comme les plateformes d’échange et les fournisseurs de wallets […], c’est quelque chose de très concret et de très faisable. »

En outre, le FMI précise que le domaine des crypto-monnaies n’est pas assez lié à celui de la finance « classique » au point qu’il y ait un risque de contagion.

Miami se lance dans le Web 3.0

Réputée être un partisan des crypto-monnaies notamment du Bitcoin (BTC), le maire de Miami, Francis Suarez, a fait l’annonce du lancement d’une collection de Non Fongibles Tokens (NFTs) sur la blockchain Ethereum. Cette collection de jetons non fongibles sera produite à la fois par Time, Mastercard et Salesforce. Le lancement est prévu pour le mois de décembre.

La ville annonce le lancement de sa collection de NFTs

Miami, la ville américaine des crypto-monnaies réitère son intérêt pour le Web3. Le maire, Francis Suarez, a annoncé il y a quelques jours le lancement d’une collection de 5000 NFTs. Pour rendre effectif le projet, la ville s’est alliée au magazine Time et aux sociétés Mastercard et Salesforce.

Miami doit la conception de ces NFTs à une collaboration de 56 artistes, tous natifs de Miami. Ce nombre correspond à la superficie de la ville soit 56 mille carrés. Pour l’instant, la ville n’a pas encore abordé les caractéristiques artistiques de la collection.

Les futurs propriétaires des NFTs auront un accès à un programme particulier offert par Mastercard. Le programme proposera entre autres des expériences hors du commun dans des restaurants locaux, des visites privées organisées ou des activités culturelles atypiques à Miami.

Quant à lui, le magazine Time se servira de son image de marque vieille de presque un siècle pour orienter la stratégie, développer la création et promouvoir la collection. Pour sa part, Salesforce s’occupera de l’aspect technique relatif au mint et à la commercialisation de la collection grâce à sa nouvelle plateforme nommée NFT Cloud.

Miami, le nouveau joyau des fans de crypto ?

C’est désormais un secret de polichinelle, Francis Suarez envisage faire de Miami une ville phare dans le secteur des crypto-monnaies. De ce fait, l’homme politique républicain a utilisé diverses manières pour faire adopter le Bitcoin (BTC) dans sa ville.

Pour mémoire, il a lancé une crypto-monnaie particulièrement destinée à Miami. Appelée le MiamiCoin, celle-ci offre la possibilité d’investir dans la ville tout en étant récompensé en Bitcoin (BTC). En l’espace d’un semestre, près de 21 millions de dollars ont été générés par le staking et redistribués aux populations de la métropole.

En chef de file de cette initiative, on retrouve bien sûr Francis Suarez lui-même. Après un intérêt manifeste pour le Bitcoin, la crypto-monnaie mère, c’est la première fois que Francis Suarez parcourt d’autres sphères du Web3.

Une université prévoit le lancement de campus dans le métavers

L’Université des sciences et technologies de Hong Kong envisage l’utilisation du métavers à partir de septembre 2022. Ce projet a pour but de connecter ses étudiants à son second campus sis à Guangzhou. Cette expérience Web 3 pourrait créer une révolution dans l’enseignement supérieur au cas où elle se déroule bien.

Une université de Hong Kong se lance dans le métavers

L’Université des sciences et technologies de Hong Kong (HKUST) prévoit créer des cours dans le métavers. En effet, le but est de parvenir à rassembler les étudiants de cette université avec le campus annexe situé à Guangzhou. Ce projet est prévu pour le mois de septembre.

Le projet n’envisage pas de se limiter uniquement aux cours virtuels. Il s’agit littéralement d’un campus version Web 3.0 qui sera un lieu de rencontre entre les professeurs, les étudiants et les anciens étudiants.

Entre autres, il est prévu de doter les salles de classe dans le métavers des éléments classiques que l’on retrouve dans une classe afin de pouvoir regrouper les étudiants des différents sites de l’université soit à Hong Kong soit à Guangzhou.

Une vision futuriste de l’enseignement

Bien entendu, les étudiants pourront personnaliser leurs avatars.  Cependant, l’idée excède l’aspect visuel. Les démarches administratives seront plus simples.  Une présence physique ne sera pas exigée. De plus, les relevés de notes et les diplômes pourront même être octroyés sous forme de Non Fongibles Tokens (NFT). HKUST envisage en outre la possibilité d’éventuelles collaborations avec d’autres institutions de par le monde.

Au-delà des illustrations précédentes, une telle initiative place l’enseignement à distance à un niveau plus haut. Bien que tout ne puisse pas se faire virtuellement, ce projet est très avantageux aux étudiants à plusieurs égards. Le problème de mobilité et de logement dans les grandes villes universitaires notamment serait résolu dans une certaine mesure avec les cours dans le métavers.

De toute évidence, ce sera tout un processus avant une généralisation de telles pratiques. Néanmoins, la pandémie de la Covid 19 a prouvé que les habitudes peuvent changer avec le temps et cela est également valable en ce qui concerne l’enseignement à distance.