Ethereum (ETH) pourra atteindre 100 000 transactions par seconde

Au cours de sa prise de parole à l’EthCC il y a quelques jours, le fondateur d’Ethereum, Vitalik Buterin a fait connaître sa vision sur l’avenir d’Ethereum après The Merge. L’illustre blockchain de smart contracts devrait subir une suite de mises à niveau pour atteindre 100 000 transactions par seconde.

Vitalik Buterin met l’accent sur la roadmap d’Ethereum

Durant la cinquième édition de la conférence EthCC, qui a eu lieu en France, Vitalik Buterin, le fondateur d’Ethereum, a pris la balle au bond pour faire des clarifications. En effet, il a fait la description des prochaines étapes de l’évolution du réseau d’Ethereum.

Comme nous l’apprend une publication, The Merge aura lieu le 19 Septembre prochain et marquera donc le passage à un consensus de preuve d’enjeu (PoS). Il est prévu que The Merge amoindrisse la consommation énergétique du réseau de 99 %. Toutefois, d’après les propos de Vitalik Buterin, même à ce stade Ethereum ne sera qu’à 55% de son développement. De grands chantiers viendront par la suite, il s’agit notamment de :

  • The Surge ;
  • The Verge ;
  • The Purge ;
  • The Slurge.

La roadmap de la mise à jour

La prochaine étape phare après The Merge, The Surge verra la mise en place du sharding. Il s’agira en effet, d’une fragmentation des opérations du réseau. The Surge est prévu pour 2023.

Ethereum sera divisé en plusieurs fragments appelés shards en anglais. Chaque fragment aura donc une action spécifique à mener pour le bon déroulement du consensus. Tout comme une chaîne de fabrication dans une usine, cette fragmentation horizontale favorisera l’augmentation de la productivité de manière significative. Cette productivité est représentée dans le cas d’espèce par le nombre de transactions effectuées par seconde.

Ces fragments diffuseront ensuite leurs informations à la chaîne mère, la Beacon Chain, pour intégrer les blocs sur la blockchain.

My Big Coin : le fondateur risque la prison

Après qu’il se l’est coulé douce aux frais de ses victimes, le fondateur du scam My Big Coin est passible d’une peine d’emprisonnement de plus de cent ans. Quel revirement de situation !

Juste quelques jours de liberté pour Randall Crafter

De manière théorique, Randall Crafter encourt le risque de passer le restant de ses jours à l’intérieur d’une cellule. Le 21 juillet dernier en effet, le département de la Justice a fait une publication selon laquelle le fondateur de My Big Coin est reconnu coupable de fraude électronique et de blanchiment d’argent. C’est d’ailleurs un jury fédéral qui aurait retenu ces charges contre lui.

Sa sentence sera connue le 27 octobre prochain. Pour chacun des quatre chefs d’accusation de fraude électronique, le mis en cause risque une peine maximale de 20 ans d’emprisonnement ferme. Quant au blanchiment d’argent, l’intéressé encourt une dizaine d’année derrière les barreaux pour chacun des trois chefs d’accusation.

Dans l’hypothèse où le juge prendra la décision d’en faire un exemple en raison du principe d’accumulation des peines dans le pays de l’Oncle Sam, Randall Crafter fera donc 110 ans en taule.

La fraude de My Big Coin n’est pas des moindres

My Big Coin occupe une place de choix sur la liste des manipulateurs qui sont en mesure de faire baisser même aux investisseurs les plus prudents et les plus avisés leur garde. Bien que les mensonges qu’ils utilisent pour piéger leurs victimes soient la plupart du temps invraisemblables, ils passent crème. L’entreprise de Randall Crafter offrait des services de paiement virtuels fonctionnels grâce à My Big Coins. Les fraudeurs faisaient l’apologie de cette crypto-monnaie. En réalité, ils la présentaient aux investisseurs, comme un token utilitaire garanti par 300 millions de dollars d’or, de pétrole et d’autres actifs. La société a même eu l’audace de mentionner un faux partenariat avec MasterCard, pour rendre plus crédibles ses faux arguments de vente.

Voyager rejette les offres de rachat malgré sa situation financière

En dépit de la précarité de sa situation financière, Voyager Digital rejette farouchement la proposition de rachat faite par FTX et Alameda. En faillite après le défaut de paiement de 3AC, la plateforme pense que cette offre va entraîner la chute de la valeur des crypto-monnaies de ses utilisateurs. De son côté, Sam Bankman-Fried pense que c’est une bonne idée.

La plateforme dit non à la cession de ses actifs à FTX et Alameda

Voyager Digital n’a pas accepté l’offre de rachat de FTX et Alameda Ventures. En effet, les deux sociétés de Sam Bankman-Fried ont proposé de racheter les actifs de la plateforme d’échange de crypto-monnaies. Dans des documents juridiques, on apprend que la proposition faite officiellement par FTX n’a pas reçu un avis favorable chez les représentants de Voyager.

Les avocats en charge de la situation actuelle de Voyager Digital estiment que c’était une « offre trop basse déguisée en sauvetage façon chevalier blanc ». Selon eux, le PDG des deux sociétés, Sam Bankman-Fried profite de la situation pour procéder au rachat de l’entreprise à vil prix.

L’offre désavantagerait les clients de Voyager

Le rachat porterait préjudice aux clients de Voyager Digital selon les indications des documents. Les représentants légaux de plateforme déclarent que leur plan de relance est beaucoup plus bénéfique pour les clients que la proposition faite par FTX et Alameda. L’exchange garantit que la solution proposée par les deux sociétés suscitera la dévalorisation de certains actifs détenus par les usagers. Pour rappel, la déclaration de la faillite de Voyager a eu lieu le 5 juillet dernier après le défaut de paiement de Three Arrows Capital. En réalité, le fond spéculatif a manqué le remboursement d’une dette estimée à plus de 670 millions de dollars. Prise au piège, la plateforme d’échange était dans l’obligation de suspendre les retraits.

Blockchain : Aptos lève 150 millions de dollars

Malgré l’actuel crypto hiver difficile à vivre pour la plupart des investisseurs, certains parviennent à tirer leur épingle du jeu. Grâce au tour de financement de série A, le total des capitaux levés par la blockchain Aptos Labs en 2022 est évalué à un montant de 350 millions de dollars.

La blockchain Aptos achève un tour de financement d’une valeur de 150 millions de dollars

Des anciens salariés de Meta ont levé 150 millions de dollars dans le but de réaliser les objectifs préalables de Diem. Récemment, la blockchain Aptos Labs a annoncé la levée de 150 millions de dollars au cours d’un tour de table de série A effectué par FTX Ventures et Jump Crypto. Ce tour de financement a porté le total des fonds levés cette année à 350 millions de dollars.

D’après un article publié sur son blog en février, Aptos affirme son ambition de devenir la “blockchain de couche 1 la plus sûre et la plus évolutive” au monde. Cette blockchain envisage de rebâtir et d’améliorer le travail de Diem avec le même effectif de scientifiques et de chercheurs reconnus dans leur domaine.

La communauté de crypto-monnaie ne reste pas de marbre

Une grande majorité de blockchains de couche 1 qui s’apparent à Aptos clament le nombre élevé de leurs transactions. Il s’agit entre autres de Solana, Celo et Polygone qui ont été victimes de grandes pannes de réseau l’année dernière. Aptos estime que maintenant qu’elle s’évertue à construire une “couche 1 de nouvelle génération” qui est censée permettre de surpasser ces problèmes, la communauté nourrit encore des doutes.

A titre illustratif, le cofondateur de Framework Ventures, Vance Spencer a mené une action allant dans ce sens. En effet, il a demandé publiquement à ses abonnés sur Twitter ce qu’Aptos a la possibilité de faire que Solana ne fait pas encore.   

Bitcoin : En Australie, les crypto-monnaies gagnent du terrain

Pendant que les banques centrales sont dans une dynamique de développement de leur monnaie numérique, pour leur part, les crypto-monnaies prennent de l’ampleur surtout dans les pays européens. C’est le cas en Australie avec le Bitcoin et les autres cryptos.

Crypto-monnaies : un secteur très novateur

Phillip Lowe, le gouverneur de la banque centrale d’Australie, s’est prononcé sur les crypto-monnaies,au cours d’une rencontre entre les responsables financiers du G20 en Indonésie. Contre toute attente, il n’y a eu aucune grossièreté. Il y a uniquement eu des conditions à satisfaire.

Phillip Lowe a affirmé que la solution privée sera l’idéale. Il faisait allusion aux crypto-actifs dont l’émission ne se fait pas par les banques centrales. Selon lui, les États gagneraient beaucoup dans l’affaire de crypto-monnaie, s’ils parviennent à mettre en place les dispositions réglementaires qu’il faut.

Les mots du gouverneur sont donc profondément marqués de lucidité. Il reconnaît le pouvoir supérieur du secteur privé par comparaison à celui de la banque centrale. En réalité, le secteur de la crypto-monnaie est innovant. Les jetons possèdent plusieurs fonctionnalités contrairement aux monnaies classiques émises par les banques centrales.

La régulation en matière des crypto-monnaies

Après ses propos très flatteurs pour l’industrie de la crypto-monnaie, Phillip Lowe renchérit sa position approbatrice aux initiatives du secteur privé dans le domaine de la crypto-monnaie. Il met l’accent sur les coûts très élevés que la banque centrale devrait endosser, si elle envisage de mettre en place un système de monnaies numériques. Toutefois, le gouverneur de la banque centrale australienne ne fait pas pour autant entièrement confiance au domaine crypto. Il souligne l’importance capitale d’une régulation par les gouvernants ou d’une réglementation qui s’apparente à celle applicable aux banques traditionnelles. Surtout dans la mesure où ces jetons seront utilisés à grande échelle par la communauté.

Web3 : 1,48 milliards de dollars perdus à cause des cyberattaques

A cause de diverses escroqueries et attaques qui ont eu lieu entre janvier et mai 2022, le Web3 a perdu la somme astronomique de 1,48 milliards de dollars. Seulement quatre incidents représentent 81% de ce montant soit 1,20 milliards de dollars d’après une étude menée par Hacken, une société de cybersécurité.

Diverses cyberattaques ont été observées de janvier à mai 2022

De janvier à mai 2022, au total, 87 piratages, exploits et escroqueries ont été comptabilisés. Les incidents financiers de Ronin Network, Solana Wormhole, Beanstalk et Qubit sont les quatre super cyberattaques qui constituent plus de 80% de cette somme.

Le piratage de Qubit Finance s’est déroulé au cours du mois de janvier 2022. Le pirate a exploité une faille dans le protocole pour s’occuper de xETH sans aucun dépôt de WETH.  Par conséquent, le protocole a perdu 206 809 BNB, ce qui vaut environ 80 millions de dollars.

Le mois suivant, c’est-à-dire en février, le pont Wormhole de Solana a été attaqué.  Le pirate a réussi à effectuer le transfert de 80 000 ETH en une transaction unique. Le montant s’élevait à près de 327 millions de dollars en ce temps-là.

En mars, le piratage du réseau Ronin d’Axie Infinity a déferlé toute la chronique. Le pirate est parvenu à obtenir le contrôle de quatre validateurs du réseau Ronin et a dérobé 173 000 ETH au protocole. Le montant équivalait à approximativement 615 millions de dollars dans cette période. Le piratage Ronin est le plus onéreux des quatre super hacks enregistrés en 2022.

Pour finir, les prêts flash du protocole DeFi Beanstalk ont ​​été victimes d’une attaque en avril.  Le concerné a dérobé 80 millions de dollars. Le protocole a perdu plus du double de ce montant.

Les attaques contre le Web3 augmentent au fil des années

Le rapport a examiné les attaques de 2012 jusqu’en mai 2022.  Selon les chiffres, le montant perdu à cause des cyberattaques a connu une forte croissance surtout de 2020 à 2022.

Entre 2012 et 2019, le Web3 a perdu un montant d’à peu près 700 millions de dollars. De janvier 2020 à la fin de l’année, les pertes totales causées par les cyberattaques s’élevaient à 300 millions de dollars. Courant toute l’année 2021, les pertes ont connu un accroissement. De janvier à décembre 2021, le Web3 a perdu 2,3 milliards de dollars à travers des cyberattaques.

Coinbase en faillite ? La plateforme répond aux accusations !

Actuellement, Coinbase rencontre de grandes difficultés. Dernièrement, une rumeur présumait une éventuelle faillite pour la géante plateforme d’échange de crypto-monnaies. Coinbase vient démentir farouchement ce canular et dévoile ses pratiques en ce qui concerne la gestion des risques.

Un communiqué de Coinbase pour apaiser les esprits

Par le biais d’un communiqué, Coinbase a répondu aux accusations portées à son encontre. La plateforme présente les pratiques de gestion des risques sécurisées et complètes dont elle se sert et grâce auxquelles les institutions parviennent à tirer leur épingle du jeu dans le domaine de la crypto économie.  A travers une publication de blog le 20 juillet dernier, l’entreprise nord- américaine souligne la complexité du contexte du marché en ce moment. En réalité, au cours de ces dernières semaines, certaines entreprises sont devenues insolvables en raison d’une mauvaise gestion des risques comme l’affirme Coinbase.

Pour Coinbase, ces entreprises ont été victimes de la violente fureur du marché au point d’en oublier les principes fondamentaux de la gestion des risques. A contrario, la firme américaine d’échanges de crypto-monnaie déclare qu’elle n’use pas de pratiques telles que de puissants effets de levier. Elle rappelle qu’elle n’a pas été grandement exposée à l’écosystème Terra comme certaines entreprises qui ont été ruinées. Elle rappelle qu’elle s’investit dans le développement de son activité de financement en faisant preuve de beaucoup de prudence.

Une méthode de gestion de risques sécurisée

La plateforme Coinbase a mis en lumière le fait qu’elle garde en sa possession les actifs de ses clients dans une proportion de 1 pour 1.

D’après Coinbase, sa méthode de gestion du risque l’aidera à gagner la confiance de nouveaux clients et à continuer son expansion dans les mois et années à venir.

Selon la plateforme d’échanges de crypto-monnaie, il faudra encore certainement plus du temps pour que tous les acteurs de marché tirent les leçons de cette période compliquée et recommencent à fonctionner de plus belle. Au-delà de tout, il faut garder à l’esprit qu’il s’agit encore d’un jeune marché qui a besoin de temps pour bien éclore. Pour finir, la plateforme rappelle que le marché des crypto-monnaies a à son actif d’incroyables opportunités. Mais, il présente également de nombreux risques.

Italie : Crypto.com obtient le feu vert de l’autorité de régulation

Actuellement en Europe, les plateformes d’échange de crypto-monnaies sont dans la course aux licences. C’est le cas de Crypto.com qui vient d’obtenir l’autorisation de l’autorité de régulation d’Italie. La plateforme d’échange de crypto réitère son ambition de s’installer sur le Vieux Continent.

Crypto.com s’implante en Italie

Il y a quelques jours, Crypto.com a annoncé qu’elle avait reçu une autorisation de l’Organismo Agentie Mediatori (OAM), l’agence en charge de ces licences, dont l’équivalent français est le PSAN.

Grâce à cette autorisation, Crypto.com peut fournir des services aux utilisateurs résidant en Italie, conformément aux régulations locales. Le PDG de l’entreprise, en la personne de Kris Marsalek, s’est réjoui de ce progrès :

« Nous sommes heureux de recevoir cet enregistrement en Italie, et nous le considérons comme une évolution majeure pour Crypto.com. »

Il faut noter que Crypto.com n’est pas la première plateforme d’échange de crypto qui obtient une licence d’exercice en Italie. En mai dernier, le géant Binance avait également décroché la sienne.  De plus, le pays même semble vouloir miser sur les technologies liées aux crypto-monnaies.

L’obtention de licence est un acte préventif grâce auquel les plateformes pourront justifier leur droit à exercer sur le territoire concerné dans les prochaines années.

La plateforme a l’Europe dans son viseur

Après l’obtention de l’autorisation pour exercer en Italie, Crypto.com a confirmé que c’est pour toute la région qu’elle porte de l’intérêt : « Nous sommes déterminés à construire une croissance durable dans la région, et nous continuerons à travailler avec des régulateurs afin de fournir une gamme complète de produits et services. »

Les ambitions européennes de Crypto.com avaient déjà été remarquées au cours de son dernier enregistrement en Grèce. De récents partenariats avaient également fait sentir la volonté manifeste de la plateforme de s’étendre dans toute l’Europe. En mars dernier, la plateforme avait signé un accord avec la FIFA qui fait d’elle un sponsor pour la Coupe du Monde de football de 2022.

Battle Infinity : 600 000 dollars levés en 10 jours

Lancée il y a seulement quelques jours, la prévente du token IBAT de Battle Infinity a été une vraie réussite. En effet, le projet a réussi à lever plus de 600 000 $ en l’espace de 10 jours. 

Que faut-il savoir du projet Battle Infinity ?

Battle Infinity est un jeu de Fantasy League. Ses utilisateurs ont la possibilité de combattre entre eux sur les terrains de sport. À cet effet, ils doivent mettre en place une équipe en collectionnant un nombre donné de cartes sous la forme de NFT. À l’instar de la plateforme Sorare, le jeu vous accordera des récompenses selon les performances de vos joueurs dans la vraie vie et dans les sports dans lesquels ils sont spécialisés. Alors que Sorare mise sur le football et le baseball, l’ambition de Battle Infinity est d’offrir des ligues dans d’autres disciplines sportives.

À long terme, la plateforme envisage développer son jeu dans le métavers comme ce qu’on remarque dans The Sandbox ou Decentraland.

Battle Infinity parvient à lever 600 000 dollars en 10 jours

Lancée le mardi 12 juillet, la prévente a attiré une kyrielle d’investisseurs. Dans l’intervalle de 10 jours, la plateforme a pu lever plus de 2 633 BNB, soit environ plus de 600 000 $.

Bien avant le lancement de cette prévente, Battle Infinity avait déjà clairement défini ses objectifs. La plateforme avait en effet prévu un minimum de 2 000 BNB, déjà franchi, et une borne supérieure de 16 500 BNB pour une durée de 90 jours. Si les investisseurs continuent de se ruer au même rythme vers le projet, la prévente pourrait durer moins de temps que prévu. De plus, le token IBAT pourrait être en rupture de stock d’ici à la deuxième moitié du mois de septembre.

Attendons donc la suite des événements pour tirer de nouvelles conclusions et savoir ce qu’il en est.

Tesla a vendu 75% de ses Bitcoins

La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Le géant Tesla a vendu les ¾ de ses Bitcoins. L’annonce a été faite par Elon Musk, le PDG de la firme automobile.

Tesla met en vente la grande majorité de ses Bitcoins

Nouveau scoop du richissime entrepreneur Elon Musk. Il y a quelques jours, le patron de la firme automobile Tesla a annoncé que celle-ci avait cédé 75% des bitcoins qu’elle avait à son actif.

L’effet de la nouvelle a automatiquement affecté le cours de la crypto-monnaie en question en entraînant sa chute. Le Bitcoin qui avait réussi à grimper à nouveau jusqu’à 24.200 dollars, a connu une chute jusqu’à 23.000 dollars. Depuis, le cours de cette crypto-monnaie est en dessous de ce niveau.

Un bénéfice estimé à 106 millions de dollars

Tesla avait annoncé le 8 février 2021, l’achat de crypto-monnaies pour 1,5 milliards de dollars. Cette publication a eu lieu au même moment que le marché haussier qui avait débuté durant les derniers mois de l’année 2020.

Toutefois, le constructeur de véhicules électriques a fait une déclaration selon laquelle il a réalisé une plus-value de 106 millions de dollars. Cela peut sembler surprenant dans la mesure où le cours de la crypto-monnaie est depuis des mois moindre que ce qu’il était au début de l’année 2021.

Mais s’il faut voir plus loin que le bout de son nez, il est bien possible que Tesla ait acquis ses Bitcoins à une valeur plus faible. Selon Decrypt, le prix moyen d’acquisition de Tesla est évalué à 31.620 dollars par token, or le bitcoin n’est passé en deçà que le 9 mai dernier.

Il faut noter qu’Elon Musk est actuellement en pleine bataille judiciaire après avoir abandonné le rachat du réseau social Twitter. La vente des Bitcoins de son entreprise aurait-elle un rapport avec l’histoire du réseau social de l’oiseau bleu ?

On le saura bientôt. Pour le moment, les analystes essaient de comprendre le déroulement des événements.