Les États-Unis poursuivent Do Kwon pour fraude

Do Kwon, le fondateur du projet Terra (LUNA), a été arrêté au Monténégro. Cette arrestation a été confirmée par Interpol. À ce propos, les procureurs américains ont retenu huit chefs d’accusation. Plusieurs d’entre eux concernent des faits de fraude à l’encontre de l’ancien PDG de Terraform Labs. Ce dernier est actuellement en garde à vue.

Le fondateur de Terraform Labs arrêté au Monténégro

Les autorités ont pu identifier formellement Do Kwon. Celui-ci a été arrêté à l’aéroport de Podgorica, la capitale du Monténégro, le 23 mars. Le ministre de l’intérieur Filip Adzi avait déjà annoncé la nouvelle de son arrestation.

Selon Interpol, le fondateur de la blockchain Terra, âgé de 31 ans, a été arrêté à l’aéroport de Podgorica. Cette arrestation a eu lieu alors qu’il tentait d’embarquer sur un vol à destination de Dubaï. Au moment du contrôle des passeports, il aurait tenté d’utiliser de faux documents.

Le jeune homme aurait été arrêté en compagnie de Hon Chang Joon, le directeur financier de Terraform Labs. Celui-ci serait son partenaire commercial.

Do Kwon est confronté à une situation juridique de plus en plus difficile

Selon un rapport du Coin Telegraph, Do Kwon, PDG de Terraform Labs, a été rapidement mis en accusation par la justice américaine. Les procureurs de l’État de New York ont déposé huit chefs d’accusation. Ceci, peu de temps après que la nouvelle de son éventuelle arrestation a été diffusée. Ils ont retenu huit chefs d’accusation, notamment pour :

  • fraude sur les matières premières ;
  • fraude sur les titres ;
  • fraude électronique ;
  • et conspiration de manipulation de marché.

Do Kwon n’est pas seulement poursuivi par les États-Unis, mais aussi par le Monténégro, où il est soupçonné d’avoir utilisé de faux documents à l’aéroport de Podgorica. Il risque ainsi une peine pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement. De plus, la Corée du Sud, son pays d’origine, a émis un mandat d’arrêt à son encontre et a demandé son extradition aux autorités monténégrines. Le fondateur de Terra ne pourra donc pas échapper à la justice et devra répondre de ses actes.

Ces inculpations font suite à l’effondrement du stablecoin UST et du token LUNA, soulevant des questions sur la responsabilité de Do Kwon dans cette affaire. Désormais, la lumière peut être faite sur ce désastre financier.

La Blockchain Association prévient des risques encourus par Bitcoin et les cryptos

La Blockchain Association US alerte sur les risques liés au Bitcoin et aux autres cryptomonnaies. La Blockchain Association affirme, en effet, que les entreprises de cryptomonnaies aux États-Unis subissent une exclusion bancaire délibérée. Elle demande alors une enquête suite aux récentes attaques réglementaires contre l’écosystème crypto. L’alerte survient pendant que les investisseurs et entreprises adoptent les cryptomonnaies, suscitant des inquiétudes sur leur stabilité et sécurité.

Une attaque délibérée contre Bitcoin et les cryptomonnaies ?

Les rumeurs entendues sont renforcées par la fermeture forcée de la Signature Bank. La banque, qui n’était pas encore insolvable à l’époque, a-t-elle été fermée en raison de son engagement avec les cryptomonnaies ? La Blockchain Association est une organisation à but non lucratif aux États-Unis dédiée à l’adoption et à la promotion des technologies de la blockchain. Elle cherche actuellement à clarifier cette situation. 

Pour atteindre cet objectif, l’association a déposé plusieurs demandes FOIA (Freedom Of Information Act) auprès de la FED et de la FDIC. Il est important de comprendre que les cibles ne sont pas innocentes. Ce sont les deux régulateurs les plus stricts dans le contexte de la crise bancaire actuelle. Au cours des derniers mois, la Federal Reserve (Fed) et la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) ont continuellement perturbé les cryptomonnaies. 

Les cryptomonnaies sont menacées par la régulation américaine ?

Pour dissiper ces incertitudes, cette procédure permet au lobby américain d’accéder aux documents et aux communications qui ont motivé les décisions des régulateurs. Ils auraient ainsi cherché à mettre en place une débancarisation des différentes entreprises cryptographiques opérant sur le territoire américain. Les craintes de Kristin Smith, PDG de la Blockchain Association, mettent en évidence la préoccupation d’un écosystème crypto qui pourrait être privé d’accès bancaire.La procédure n’a pas été commentée par la Fed ou la FDCI. Cependant, les discours tenus la semaine dernière révèlent l’opinion ferme des régulateurs américains sur l’univers de la cryptographie. Barney Frank, ancien membre du Congrès américain, déplorait que la régulation voulût « envoyer le message que la crypto est toxique ». Tandis que les institutions cherchent des coupables pour l’effondrement du système bancaire, Bitcoin continue de prospérer. La cryptomonnaie est portée par un contexte économique difficile, qui rappelle les raisons de sa création.

The Pokémon Company et NFT : est-ce le début d’une histoire ?

Nintendo veut-il tenter le pari NFT ? C’est la question qui se pose depuis que la société a récemment publié une offre d’emploi. En effet, le poste promu par The Pokémon Company nécessite des connaissances en Métavers, Web3 et NFT.

Pokémon veut recruter un Corporate Development Principal

The Pokémon Company est une société japonaise axée sur le divertissement. Elle a connu du succès après la création de la franchise Pokémon. Cette entreprise a fraîchement fait l’annonce d’une offre d’emploi sur son profil Linkedin, une offre qui attire l’attention de plusieurs. Il s’agit du poste de Corporate Development Principal

La personne requise pour ce poste doit avoir une parfaite maîtrise du Web3 ainsi que des technologies blockhain, NFT et/ou métaverse. Le salaire de base annuel fixé pour cet emploi varie entre 150 000 à 224 000 dollars en dehors des primes. Il faut dire que cette embauche ne donne pas d’indices précis sur les intentions de la société. Cependant, elle sous-entend un projet innovant futur lié aux NFT.

Les sociétés confrontées au « Play to earn »

Pendant que certaines entreprises se détournent des NFT, d’autres continuent de les expérimenter. C’est le cas de Sony qui a déposé un brevet en novembre 2022 afin de suivre des actifs numériques uniques et in-game. Par ailleurs, avant celle-ci, Atari a renoncé aux NFT et Axie Infinity s’est orienté vers un système accessible et gratuit. 

Face aux enjeux du « play to earn », il importe que la prudence ne soit pas perdue de vue. Le créateur de Pokémon Go a porté un projet de métaverse en février 2022. À l’issue de celui-ci, Nantic a levé 300 millions de dollars. 

Suite à cette collecte de fonds, le président de Nintendo, Shuntaro Furukawa a été interviewé concernant le métavers et les NFT. Ce dernier a donc affirmé que les mondes virtuels possèdent un grand potentiel. Cependant, il trouve que ce n’est pas le moment idéal pour communiquer « l’approche Nintendo ».

Il faut souligner que certains fanatiques ont émis des réserves face à cette confirmation indirecte. Néanmoins, ceux-ci montrent toujours de l’intérêt pour les expériences communautaires et immersives.

UBS rachète Crédit Suisse : que retenir à ce sujet ?

Suite à l’effondrement de l’entité bancaire Crédit Suisse, UBS décide de la racheter. De façon inattendue, le fondateur de la plateforme Tron, a également annoncé vouloir faire l’acquisition de la banque en faillite. Cependant, on se demande si ce dernier n’a pas déjà raté le train en marche.   

Justin Sun peut-il réellement faire le rachat de Crédit Suisse ?

L’annonce du rachat de Crédit Suisse par Justin Sun laisse dubitatif. On ne saurait dire s’il s’agit d’une offre sérieuse puisqu’il est difficile de prendre en considération les dits de celui-ci. De plus, les propos de Sun sont rarement suivis d’actions concrètes.

Depuis quelque temps, les entités bancaires sont confrontées à une série de crises. Elles se suivent les unes après les autres. D’abord, la Silicon Valley Bank. Ensuite la Signature Bank et Silvergate. Et maintenant Crédit Suisse. Ce dernier est l’une des plus grandes banques du pays helvétique.

UBS a annoncé hier vouloir racheter Crédit Suisse pour un montant de trois milliards de francs suisse. Toutefois, cette première offre n’a pas empêché Justin Sun de proposer 1,5 milliard de dollars pour ce même rachat. 

En réalité, le patron de la blockchain Tron poursuit l’objectif de réformer Crédit Suisse en une banque crypto-friendly. C’est d’ailleurs un projet que la plupart des acteurs cryptos n’oseraient pas porter. Surtout en ce temps où ils se retrouvent dans le viseur du gouvernement US.

Banque et cryptomonnaie peuvent-elles être conciliables ?

À cette question, il faut répondre que cela n’est pas tellement évident. Le gouvernement américain œuvre de pied ferme pour exclure toute relation entre les banques et les cryptomonnaies.Par conséquent, le projet de Sun n’a qu’une minime chance de se voir concrétiser, comme lors de la crise FTX.  On peut voir que le fondateur de l’exchange Huobi est un habitué des plans de sauvetage qui laissent à désirer. Ce qui est certain, cette proposition n’a plus aucune possibilité d’aboutir, car UBS a fini par faire l’acquisition de Crédit Suisse.

Certains utilisateurs de Celsius recevront un remboursement de leurs cryptos

Après avoir gelé les retraits crypto de ses clients, Celsius Network s’est placée en faillite. Après un long moment d’attente, certains clients chanceux pourront enfin avoir le remboursement d’une partie de leur fonds. Il s’agit des utilisateurs du service Custody de Celsius.

La chance des utilisateurs du service Custody de Celsius 

En juin dernier, Celsius Network a dû geler certaines opérations sur sa plateforme. Un mois plus tard, la société s’est déclarée en faillite. L’heure était donc à la déception pour tous les utilisateurs de Celsius. Ces derniers se demandaient s’ils recouvreront, un jour, leurs fonds. 

Récemment, les tribunaux ont statué que les utilisateurs de Celsius pourraient percevoir jusqu’à 75% de leurs fonds déposés. De ce fait, les clients du service Custody de ladite société seront les premiers à être servis. Il faut souligner qu’ils ne représentent qu’un nombre très minime parmi les nombreux clients lésés. Néanmoins, ce choix peut s’avérer difficile pour ces derniers.

Les clients Custody de Celsius face à un dilemme

D’après un document judiciaire (joint au dossier de faillite), les utilisateurs Custody pourront recevoir leurs fonds en deux tranches. D’abord, ils percevront sur place 36,25% et par la suite 36,25%, soit un total de 72,5%. 

Dans le cas où ils opteraient pour cette option, ils devront renoncer à tout litige postérieur. De plus, ils devront accepter que le reste des fonds (27,5%) soit attribué à la société en faillite.

Devraient-ils se contenter de toucher 72,5% de leurs cryptos au risque de perdre les 27,5% restants ? Ou devraient-ils s’engager dans un combat judiciaire à n’en point finir afin d’espérer un remboursement total ?  Tel est le dilemme auquel sont confrontés les utilisateurs Custody.S’agissant des clients du programme Earn de Celsius, ils n’ont malheureusement pas eu cette chance. Ceux-ci n’ont d’autres choix que d’attendre leur tour même si cette attente est encore loin d’être résolue.

DEX : Orca n’est plus accessible aux utilisateurs US

Proposer un milieu financier ouvert et accessible à tous : telle est l’ambition de la finance décentralisée. Néanmoins, il se trouve que la réalisation de ce désir est limitée par l’intervention des régulateurs. Certains protocoles sont donc obligés de faire le tri en amont. C’est le cas d’Orca.

Orca empêche les utilisateurs américains d’utiliser son interface

Le protocole d’échange décentralisé Orca, hébergé sur Solana, a annoncé, à travers une notification, une décision inopinée. Les utilisateurs US n’auront plus la possibilité, à partir du 31 mars, d’exécuter des transactions sur son site.

Cependant, il faut souligner que ce n’est que l’interface Web d’Orca qui connait cette restriction. De ce fait, les utilisateurs américains peuvent toujours interagir immédiatement avec les contrats intelligents d’Orca. Ils peuvent également continuer à fournir des liquidités par le biais du site officiel.

Par ailleurs, les utilisateurs peuvent interagir avec les smart contracts d’Orca via d’autres interfaces. Jupiter est alors une bonne alternative puisqu’il utilise Orca pour avoir des liquidités pour son service d’agrégateur de swaps. 

Les échanges décentralisés ne sont pas hors d’atteinte des régulateurs 

Généralement, les échanges décentralisés ne disposent pas de « back end » centralisé. Toutefois, pour éviter toute complication avec les régulateurs américains, ces derniers ont préféré bloquer les utilisateurs US.

À titre illustratif, nous avons Uniswap qui a décidé d’empêcher certains wallets d’avoir accès à son interface en 2022. Cependant, pour la plupart des cas, les utilisateurs ont réussi à trouver des échappatoires. Ces derniers contournent les limites géographiques en masquant leur adresse IP. Soit, ils se connectent directement au contrat intelligent.

La décision d’Orca montre clairement que même les échanges décentralisés ne sont pas épargnés des régulateurs. Les acteurs cryptos n’ont d’autre choix que d’évoluer à tâtons dans ce milieu réglementaire en perpétuelle évolution.

L’avenir permettra de savoir si cette situation encourage à l’optimisme ou au pessimisme.

Les pirates de Ledger sont enfin connus

Les hardwallets de Ledger sont à l’abri des piratages. Mais, il n’en est pas de même pour la base de données clients. Cette dernière a déjà été dérobée à deux reprises. Heureusement que l’identité des premiers hackers est dorénavant connue.

Le hacking des fichiers de Ledger 

La société Ledger a connu à deux reprises le piratage des données personnelles de ses clients. Cet hacking a pu être effectué par l’exploitation d’une faille de sa base de données.

Le premier hack s’est déroulé à la fin de l’année 2020 et le second au début de l’année 2021. Le nom, le téléphone, l’e-mail et pire les adresses du domicile des clients avaient fuité. Les clients étaient alors exposés au phishing et au cambriolage, surtout ceux dont les adresses de leur domicile ont fuité.

Les hackers identifiés et arrêtés

Selon les révélations de The Big Whale et Bitcoin.fr, les hackers du premier piratage survenu en avril 2020 seraient déjà connus. Ils ont même été arrêtés depuis un certain temps.

Le premier accusé est un Autrichien nommé Tassilo H., âgé de 22 ans et résidant en Californie. Il serait en détention aux Etats-Unis depuis janvier 2021. Davide M., de nationalité portugaise et âgé de 28 ans, est le second hacker. Ce dernier a été arrêté au Portugal. Cependant, il a été déposé entre les mains des autorités françaises en novembre 2022. Davide M. a été mis en examen puis en détention provisoire en France.

Par ailleurs, pour mener à bien leur méfait, ces deux complices auraient contacté trois sous-traitants philippins de Shopify. Il faut souligner que le concepteur des Ledger Nano S et X vendait ses hardwares wallets via Shopify.

En ce qui concerne la seconde fuite de données survenue en juin 2020, l’identité des hackers n’a pas encore été révélée.

Playboy (PLBY) perd des millions de dollars sur Ethereum

PLBY est une société américaine active dans les domaines des médias et du style de vie. Son siège social se trouve en Californie. Elle est connue pour être la maison mère du célèbre magazine Playboy, fondé par Hugh Hefner.

La société subit une perte suite à un paiement en NFT

En octobre 2021, PLBY a lancé des NFT appelés Rabbitars. Ceux-ci ont connu un grand succès en raison de la forte hausse des crypto-monnaies. En décembre 2022, ces actifs numériques étaient évalués à 327 000 dollars selon les comptes de l’entreprise. Cependant, l’entreprise vient d’annoncer une mauvaise nouvelle à sa communauté, avec des pertes financières importantes.

En effet, PLBY a inclus les jetons Rabbitars non fongibles dans son bilan en tant qu’actifs numériques. La société a annoncé qu’elle acceptait l’éther (ETH) comme méthode de paiement. Elle a cependant récemment révélé qu’elle avait subi une perte de 4,9 millions de dollars sur le réseau Ethereum. Cette perte est due à la baisse de 60 % de la valeur de l’ETH depuis octobre 2021.

PLBY fait face à des pertes de valeur en crypto-monnaies

PLBY traite ses actifs numériques de manière particulière. Elle les considère comme des “actifs incorporels à durée de vie indéterminée.” La société a averti que la valeur de ses crypto-monnaies peut diminuer à tout moment lorsque leur juste valeur est inférieure à leur valeur comptable.

Malheureusement, PLBY ne pourra pas récupérer les pertes de valeur enregistrées sur les crypto-monnaies. Il en sera de même si la valeur des crypto-monnaies augmente après la déclaration de la perte de valeur.PLBY a expliqué que la valeur comptable de chaque éther qu’elle détenait à la fin de l’année reflétait le prix le plus bas d’un éther coté sur un marché actif à tout moment depuis qu’elle l’avait reçu.

La société PLBY est entrée dans l’espace des crypto-monnaies en 2018 en acceptant les paiements en BTC. Elle a ensuite fait son entrée dans le secteur des NFT en 2021 avec la collection Liquid Summer. Cette collection présente des photographies d’archives du mannequin Playboy Lenna Sjööblom, en collaboration avec l’artiste Slimesunday. Aujourd’hui, le secteur des NFT évolue et s’apprête à entrer dans une nouvelle ère avec les Ordinales Bitcoin.

Plusieurs influenceurs accusés dans l’affaire FTX

La débâcle de l’échange FTX est sans doute l’un des moments les plus tragiques de l’histoire de l’industrie des crypto-monnaies. Un nouveau facteur a été révélé. Il permet de comprendre pourquoi ce désastre s’est produit sans attirer l’attention.

Faut-il parler de complicité dans l’affaire FTX ?

La crise autour de l’affaire FTX continue de faire des vagues. Récemment, des liens ont été établis entre FTX et la crypto-banque Silvergate. Cette dernière a également connu des difficultés financières. De nouveaux éléments ont révélé le rôle potentiel de certains influenceurs dans cette affaire.

Ces derniers sont accusés d’avoir intentionnellement promu les services de FTX auprès de leurs communautés. Pourtant, ils connaissaient la nature peu fiable de l’entreprise, au-delà de sa crédibilité à l’époque.

Le cabinet d’avocats Moskowitz, basé en Californie, a déposé une plainte mercredi. Il souhaite que les influenceurs soient tenus responsables de leurs actions. Selon le cabinet, plusieurs d’entre eux auraient reçu des paiements de FTX pour encourager les utilisateurs à investir. Parmi les influenceurs cités figurent Erika Kullberg, Ben Armstrong et Kevin Paffrath. Ce dernier s’est excusé sur sa chaîne YouTube pour son rôle dans cette affaire.

L’acte de procédure indique clairement que Paffrath a été sponsorisé par FTX. Il regrette son implication dans cette affaire, qui a causé un préjudice aux investisseurs.

Complicité dans le scandale : où en sommes-nous ?

Compte tenu de l’ampleur de la médiatisation du scandale FTX, il semble évident que les personnes impliquées devront faire face à de lourdes conséquences. Il est même possible que la justice américaine, déjà très impliquée dans cette affaire, décide de durcir sa position.

Cependant, il est important de rappeler que la culpabilité de l’accusé doit être établie au-delà de tout doute en vertu du droit pénal américain. Les prochaines semaines pourraient donc être marquées par une bataille juridique acharnée. Il est clair que le scandale FTX est encore loin d’avoir livré tous ses secrets.

Salesforce et Polygon unissent leurs forces pour promouvoir les NFT

La plus grande société américaine de logiciels-service cotée en bourse, Salesforce, a récemment annoncé une alliance avec Polygon Labs. Cette alliance vise à inclure les NFT dans sa suite d’outils de gestion de la relation client. Leur objectif commun est d’aider les utilisateurs de Salesforce à mettre en place des programmes de fidélisation reposant sur l’utilisation de jetons non fongibles.

Salesforce explore de nouvelles pistes pour booster sa croissance

La société Salesforce a collaboré avec Polygon pour inclure les NFT dans sa stratégie de fidélisation de la clientèle. Les NFT, abréviation de “non-fungible tokens”, sont des actifs numériques uniques vérifiables sur la blockchain. Ils peuvent être utilisés pour représenter différents types de contenus numériques. Le contenu numérique peut être de l’art, des vidéos, de la musique ou même des photos.

Selon des informations relayées par Bitcoinist, Salesforce, l’une des principales entreprises de cloud computing, s’est associée à Polygon Labs. Ce partenariat permettra aux clients de Salesforce de mettre en place des programmes de fidélisation basés sur des jetons numériques. Cette information a été confirmée sur Twitter par Ryan Wyatt, président de Polygon Labs.

Comment les NFT peuvent-ils profiter au géant du Cloud ?

À l’heure actuelle, il est difficile de prédire dans quelle mesure les NFT seront utilisés par les clients de Salesforce. Néanmoins, il est pertinent de se demander comment ces actifs pourraient profiter à une entreprise comme Salesforce.

En effet, il existe un grand nombre de possibilités. L’intégration des NFT pourrait permettre des changements significatifs chez Salesforce. L’entreprise pourrait ainsi tirer pleinement parti du potentiel de la blockchain au fil du temps.

Divers cas d’utilisation sont envisageables. En plus du programme de fidélité, Salesforce pourrait proposer des NFT exclusifs à ses clients les plus fidèles et les plus appréciés. Ces NFT leur permettraient de bénéficier d’avantages particuliers. Par exemple, des remises sur les produits et des événements exclusifs. Ils pourraient également bénéficier d’offres spéciales.

En outre, les NFT peuvent être utilisés comme outil de promotion de la marque. Salesforce peut ainsi créer des NFT représentant des éléments de sa marque ou de ses produits. Ils peuvent être offerts aux clients ou vendus à des collectionneurs.

Il sera intéressant de suivre l’évolution du programme pilote de Salesforce au cours des prochains mois. Son succès ou son échec pourrait marquer un tournant dans l’adoption des NFT par les grandes entreprises. Quoi qu’il en soit, l’utilisation des NFT dans les entreprises est déjà une réalité. La récente création d’une collection de NFT par Coca-Cola en est la preuve.