Bitcoin : + de 7000 distributeurs de BTC & autres cryptos dans le monde

Malgré leurs frais élevés, on compte aujourd’hui plus de 7 000 distributeurs automatiques prenant en charge le Bitcoin et d’autres crypto-monnaies.

Le nombre total de guichets automatiques Bitcoin vient de dépasser la barre des 7 000 dans le monde, et ceux-ci sont présents dans pas moins de 75 pays. Ce nombre n’a cessé d’augmenter depuis l’introduction du premier ATM Bitcoin en 2013. Selon les données fournies par Coin ATM Radar, ce dernier a augmenté de plus de 1 000 en 2020 seulement, dont la majorité a été déployée aux États-Unis.

À l’inverse, le Royaume-Uni, le Canada, l’Autriche et l’Espagne ont vu le nombre d’installations de cryptos-ATM stagner ou diminuer ces derniers mois. L’Asie est toujours à la traîne en termes d’installations de distributeurs de Bitcoin, avec seulement 1,8% de tous les DAB cryptographiques trouvés dans les pays asiatiques. La plupart se trouvent à Hong Kong. Néanmoins, presque tous les pays développés ont maintenant au moins un distributeur de cryptos, y compris presque tous les pays d’Europe et d’Amérique du Nord.

Un système hautement centralisé

Bien qu’il existe très exactement 7 044 distributeurs automatiques de cryptomonnaies sur la planète, ceux-ci sont contrôlés par un pool relativement restreint de 554 opérateurs. Cela signifie que le propriétaire d’une entreprise de cryptos-ATM gère environ 13 machines. Les frais facturés par ces opérateurs varient, mais ils ont tendance à être assez élevés. La plupart des distributeurs de Bitcoin facturant 7% de commission sur les achats de crypto-monnaie et 10% sur les ventes.

Il y a actuellement 42 fabricants différents d’ATM de Bitcoin en activité. Beaucoup livrent des machines dans le monde entier, tandis que certains n’opèrent que dans une juridiction particulière. Parmi eux, Genesis Coin et General Bytes sont responsables de la production de près des deux tiers de tous les DAB cryptographiques existants, qui coûtent entre 2 999 $ et 14 500 $. Pas étonnant que les frais soient si élevés…

Bitcoin : 4000 BTC vont être mis aux enchères aux États-Unis

Plus de 4000 bitcoins (pour un montant total de plus de 38 millions d’euros au moment de la publication de cet article) seront mis aux enchères par des responsables de l’application des lois américaines le 18 février.

L’US Marshals Service a déclaré qu’il mettra aux enchères 4040.54069820 BTC le mardi 18 février prochain. Un dépôt de 200 000 dollars était requis pour ceux qui souhaitent participer, et les candidats devaient s’inscrire avant le 12 février.

Le Marshals Service a tenu sa première vente aux enchères de bitcoins à l’été 2014. Elle avait vu l’investisseur Tim Draper acquérir près de 30000 BTC répartis sur 10 lots. Un certain nombre d’autres ventes aux enchères, comprenant des cryptomonnaies saisies lors de l’enquête du gouvernement américain sur le marché noir aujourd’hui disparu Silk Road ont eu lieu ces dernières années. La plus récente a eu lieu à la fin de l’année 2018.

La vente de ce mois-ci sera composée de quatre lots, à savoir : 2 500 BTC, 1 000 BTC, 500 BTC et 40,54069820 BTC. “L’USMS a informé tous les soumissionnaires de leur admissibilité à participer à l’enchère par courrier électronique le jeudi 13 février 2020, à 17 h 00 HNE“, a déclaré l’USMS dans un communiqué.

ETH : Shitcoin Wallet est en réalité un scam

Le responsable de la sécurité de la plateforme MyCrypto, Harry Denley, a récemment déclaré que le portefeuille Ethereum Shitcoin Wallet vole les mots de passe et les clés privées.

Le portefeuille Ethereum Shitcoin Wallet vole des mots de passe et des clés privées des portefeuilles cryptographiques, selon Harry Denley, le directeur de la sécurité de la société MyCrypto. Avec ces informations, les hackers derrière ce wallet auraient accès aux crypto-monnaies de leurs utilisateurs.

Shitcoin Wallet, qui a été lancé à la fin de l’année dernière, est téléchargeable en tant qu’extension pour Google Chrome. Cette extension invite les utilisateurs à créer des portefeuilles, qu’ils peuvent ensuite déverrouiller avec des clés privées ou un certificat d’authentification. Shitcoin Wallet affirme que ces clés sont cryptées, ce qui signifie que le service ne devrait pas pouvoir les lire…

Mais Denley a expliqué sur Twitter qu’elle injectait du code javascript malveillant pour voler des informations. Cela se produit de deux manières. Tout d’abord, l’extension recherche les informations d’identification de tout portefeuille créé par ses utilisateurs. Deuxièmement, lorsque ces derniers accèdent à Binance, Myetherwallet, Idex, NeoTracker ou encore Switcheo, l’extension vole les identifiants de connexion et les clés privées.

Heureusement, Shitcoin Wallet ne compte “que” quelques centaines utilisateurs, selon la page de l’extension sur le Chrome Web Store. “Shitcoin Wallet vole vos données de connexion et vos tokens. Ne la téléchargez pas, c’est un scam“, a par exemple commenté Tony Nicklow dans une critique à une étoile. Elle ne devrait pas tarder à être retirée par Google.

Investissements : les Millennials préfèrent le Bitcoin à Netflix

La dernière génération préfère investir dans le Bitcoin plutôt que dans Netflix ou Disney, selon la dernière analyse de Charles Schwab.

Un nouveau rapport du géant de l’investissement montre que les Millennials choisissent d’acheter des actions de Grayscale Bitcoin Trust (BTC) plutôt que celles de Microsoft, Walt Disney, Netflix ou l’action Berkshire Hathaway de Warren Buffett

Le rapport montre également que la génération Y alloue une plus grande partie de ses investissements de portefeuilles aux liquidités et aux fonds négociés en bourse (FNB) que les autres investisseurs. Les fonds communs de placement (FCP) et les actions Apple continuent de constituer la plus grande participation dans les comptes de tous les groupes d’âges, révèle Charles Schwab.

Les investisseurs de la génération X représentaient environ 42% des quelque 142 000 participants au régime de retraite, tandis que les baby-boomers et la génération Y représentaient respectivement 39% et 13%.

Les données du rapport confirment également que les fonds communs de placement détiennent toujours le plus grand pourcentage des investissements des participants, les baby-boomers leur allouant environ 39% de leurs portefeuilles. Les actions représentent la deuxième plus importante allocation de portefeuilles de toutes les générations confondues.

4,4 milliards de dollars de cryptomonnaies déjà volés en 2019

Selon un nouveau rapport de CipherTrace, les cybercriminels ont réussi à voler l’équivalent de 4,4 milliards de dollars de Bitcoin et autres crypto-monnaies au cours des neuf premiers mois de cette année seulement.

En 2018, 1,7 milliard de dollars de cryptosdevises ont été dérobés. Si l’on compare ces chiffres à ceux de 2019, on constate une augmentation de plus de 150%, et ce sans compter le dernier trimestre toujours en cours.

Les fraudes liées aux affaires PlusToken et QuadrigaCX sont les principales responsables de l’augmentation soudaine du nombre de crimes liés aux cryptoactifs. La cryptomonnaie sud-coréenne PlusToken s’est avérée être un scam à l’origine d’un vol estimé à 2,9 milliards de dollars de cryptos.

QuadrigaCX, quant à lui, était un exchange canadien qui a tout simplement cessé de fonctionner après le décès de son PDG. L’homme était semble-t-il le seul à détenir les clés privées contenant environ 192 millions de dollars en cryptomonnaies… Ces deux événements se sont produits au premier semestre de 2019.

Au cours des six premiers mois de 2019, les crypto-criminels ont ainsi réussi à voler plus de 4,26 milliards de dollars à leurs victimes. Le rapport de CipherTrace indique que la quantité monnaies cryptographiques volée entre juillet et septembre était plus basse que celle durant le même trimestre ces deux dernières années.

Il existe de nombreux problèmes de sécurité liés à l’utilisation et au stockage de vos crypto-monnaies sur les différents exchanges. Il est donc fortement recommandé de conserver tous vos jetons dans un portefeuille (ou wallet) physique comme le Ledger Nano S.

Domino’s Pizza fête ses 30 ans : 100 000€ de Bitcoin à gagner !

Cette année, Domino’s Pizza France fête ses 30 ans. Pour l’occasion, la célèbre franchise internationale de restauration rapide propose jusqu’au 6 octobre un jeu 100% gagnant qui récompensera 100 000 participants. La particularité de ce concours ? Le premier prix, 100 000 euros, pourra être perçu en cash ou en Bitcoin par le grand gagnant !

Après Burger King (lire : Allemagne : Burger King accepte désormais les paiements en Bitcoin (BTC)), c’est donc au tour de Domino’s Pizza de s’aventurer un peu plus dans le monde merveilleux des cryptomonnaies, ou du moins participer à leur démocratisation.

Comment participer ? 

Jusqu’au 06/10/2019, vous devez vous rendre sur le site www.dominos30ans.fr mis en place pour l’opération, afin d’obtenir un code pour chaque pizza achetée dans un des restaurants Domino’s de l’hexagone (jusqu’au 02/10/2019). Il ne vous reste plus qu’à tenter d’ouvrir le coffre à l’aide de votre code pour tenter de gagner des milliers de cadeaux dont un gros lot à 100 000€ en liquide ou en Bitcoins !

Notez toutefois que vous devez posséder un portefeuille Bitcoin pour pouvoir participer à ce concours (si vous choisissez la récompense en BTC, bien sûr). Par ailleurs, sachez que les Bitcoins seront envoyés sur le wallet de l’heureux gagnant au plus tard le lundi 16 décembre prochain. Bonne chance à tous, et n’abusez pas trop des pizzas Domino’s !

Allemagne : Burger King accepte désormais les paiements en Bitcoin (BTC)

La branche allemande de la célèbre chaîne de restauration rapide Burger King accepte désormais les paiements en Bitcoin (BTC) sur son site Web et sur son application mobile.

Sans surprise, les membres de la communauté crypto ont été les premiers a remarquer que le site officiel allemand de Burger King et son application mobile avaient discrètement vu apparaître le Bitcoin comme moyen de paiement accepté.

Cependant, on ne sait pas encore si la chaîne de restauration rapide envisage de déployer cette fonctionnalité dans ses magasins physiques, qui sont tout de même au nombre de 600 à travers l’Allemagne. Si cela arrive, Burger King pourrait ainsi suivre le chemin du leader du paiement au Brésil Cielo, en intégrant les paiements en Bitcoin (BTC) à ses bornes en magasin grâce à l’utilisation d’un code QR.

Burger King n’a pas encore communiqué au sujet de cette nouveauté, mais ce n’est pas la première fois que la chaîne de restauration rapide est associée au Bitcoin. À l’été 2017, la version russe de Burger King a annoncé qu’elle accepterait les paiements en BTC et a ensuite lancé sa propre monnaie virtuelle, le Whoppercoin. La même année, la plus célèbre des cryptodevises a commencé à être acceptée par un restaurant à Arnhem, une ville des Pays-Bas.

Token PAC : le boxeur Manny Pacquiao lance sa cryptomonnaie

Après avoir chanté devant plus de 2 000 fans lors d’un concert dimanche dernier, le boxeur Manny Pacquiao a annoncé “PAC”, la première crypto-monnaie au monde lancée par un célébrité. C’est la dernière idée de Pacquiao pour capitaliser sur ses exploits sur le ring.

En utilisant des PAC, les fans du champion des poids welters peuvent acheter des marchandises et gagner l’occasion de dialoguer avec lui sur les réseaux sociaux. Pac sera listé sur la plateforme d’échange de cryptomonnaies de Singapour Global Crypto Offering Exchange (GCOX), qui compte parmi ses investisseurs l’ancien footballeur de Liverpool, Michael Owen, et le cheikh Khaled bin Zayed al-Nahyan d’Abou Dabi.

PAC est peut-être la première crypto de star, mais ce ne sera sûrement pas la dernière. Michael Owen envisage de lancer la sienne avec GCOX. La joueuse de tennis danoise Caroline Wozniacki et le chanteur Jason Derulo prévoient également de sortir leurs tokens.

En novembre dernier, la SEC avait accusé Floyd Mayweather Jr. d’avoir fait la promotion d’une Initial Coin Offering sans avoir révélé qu’il avait été payé pour le faire. En créant sa cryptodevise plutôt que d’en promouvoir une, Pacquiao a battu Mayweather dans cette arène…

Le Bitcoin a seulement 7% de chance de finir l’année à 20 000$ !

Selon la société d’analyses de Bitcoins et de crypto-devises Skew Markets, à mesure que 2019 avance et que le Bitcoin (BTC) s’échange autour des 10 000 dollars, la probabilité que sa valeur atteigne 20 000 dollars d’ici la fin de l’année est de 7% seulement.

D’après cette même source, le mois d’octobre devrait toutefois être intéressant pour le Bitcoin. Après de nombreuses tentatives infructueuses, il se pourrait qu’un ETF Bitcoin (Exchange Traded Fund, ou fonds négocié en bourse – FNB – en français) soit approuvé pour la première fois par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. À l’heure actuelle, l’organisme de réglementation américain examine deux demandes d’ETF.

De nombreux investisseurs pensent que la célèbre crypto-monnaie pourrait continuer à croître avant la fin de cette année. Par exemple, Nigel Green, PDG de DeVere, pense que le BTC atteindra 15 000 dollars dans un avenir proche. Dan Morehead, PDG de Pantera Capital, a de son côté prédit que le cours du BTC atteindra 42 000 d’ici janvier 2020.

Skew Markets, la société d’analyses de crypto-monnaies, estime quant à elle que le Bitcoin a 7% de chances d’atteindre 20 000 dollars d’ici la fin de 2019. Sur CoinMarketCap, le Bitcoin se négocie à environ 9 488 $ au moment de la rédaction de cet article et a une valeur marchande de 179 milliards de dollars.

La Nouvelle-Zélande, 1er pays à légaliser les salaires en cryptomonnaies (BTC)

La Nouvelle-Zélande est devenue le premier pays à légaliser les salaires en cryptomonnaies, selon un rapport publié récemment par le Financial Times.

L’agence fiscale du pays a donc accepté qu’un salaire soit payé en crypto-devise à condition que celle-ci soit indexée sur au moins une devise standard ou fiat. La Nouvelle-Zélande exige également que la crypto choisie soit directement convertible en un mode de paiement standard. Cela permettra au Bitcoin, la crypto-monnaie avec la plus grosse capitalisation boursière au monde, de servir de moyen de paiement aux travailleurs néo-zélandais lorsque la loi entrera en vigueur le 1er septembre.

Cette initiative a pour effet de placer cet actif numérique controversé encore un peu plus haut dans le domaine des méthodes de paiement courantes. Les crypto-monnaies sont relativement peu réglementées et leur nature untrackable les a aidées à devenir populaires grâce aux achats en ligne anonymes. Cette décision constitue “un pas de plus vers la reconnaissance par les gouvernements du fait que les gens veulent être payés en cryptomonnaies“, a déclaré Thomas Hulme, avocat au cabinet Mackrell Turner Garrett de Londres. Les cryptos sont également considérées comme un nouvel investissement – et un actif – volatil.

La décision de la Nouvelle-Zélande intervient quelques semaines après que Facebook a annoncé sa propre crypto-monnaie, baptisée Libra. Bien que cette révélation ait attisé les préoccupations des investisseurs et des responsables gouvernementaux en matière de protection de la vie privée, l’intérêt du géant américain pour la monnaie numérique a conféré une nouvelle légitimité à la technologie.