IA : pour ChatGPT, le Bitcoin est une menace pour les Banques Centrales
Avec le déploiement des cryptomonnaies, les institutions financières se sentent de plus en plus menacées. C’est dans cette logique que s’inscrit l’IA ChatGPT en affirmant que : le Bitcoin pourrait mettre au chômage les banques centrales.
L’acquisition de l’indépendance face aux banques centrales grâce à une IA
La nouvelle Intelligence Artificielle (IA) créée par les chercheurs d’Open AI est à l’origine d’un buzz depuis ces dernières semaines. Il s’agit bel et bien de ChatGPT qui est une IA capable de répondre de manière détaillée à des préoccupations complexes. Elle est capable :
- d’écrire des codes informatiques ;
- de rédiger des livres ;
- de rédiger des articles ;
- et même des scénarios de film.
Parman Public a alors questionné l’IA ChatGPT via Twitter sur comment contrer l’intrusion des banques centrales.
Cette dernière a proposé, à cet effet, quatre solutions. D’abord, l’éducation et la sensibilisation. À travers cette solution, il faudra sensibiliser le public pour qu’il ait une bonne compréhension du rôle que joue les banques centrales sur l’économie et des effets négatifs qui pourraient mener à une pression accrue.
Ensuite, l’IA ChatGPT propose une action politique et des alternatives pour développer et promouvoir les monnaies numériques décentralisées, les monnaies locales, etc. Ainsi, le besoin des banques centrales se fera ressentir de moins en moins. Enfin, l’effondrement économique entraînerait la perte de confiance dans les banques centrales.
Bitcoin désigné comme la solution pour contrer les banques centrales
Parmi les solutions proposées par l’IA ChatGPT, se trouvent les monnaies numériques décentralisées. Cependant, le fanatique de Bitcoin, Parman pousse les choses plus loin. Il demande à l’IA comment en finir avec les monnaies fiduciaires. À nouveau, l’IA propose encore quatre chemins à emprunter.
La première solution parle du retour à un standard or. La deuxième incite à promouvoir les monnaies alternatives, surtout Bitcoin puisqu’elles sont décentralisées et non contrôlées par une autorité centrale ou un gouvernement. Le troisième chemin vise à diminuer les dépenses publiques. Enfin, le dernier, vise à changer la conception du public en les persuadant que la monnaie fiduciaire reste une solution temporaire.
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